miércoles, 7 de mayo de 2008

Location de vélos

Curioso el servicio de alkiler de bicis,creo que lo he visto justo cuando empezaba..unas 15 bicis por central (por lo menos a coté du château)... en Rue Franklin cerca de Bouffay il y a plus, bon, cést mieux que vous regardez l'info official, lol...
Personalmnt, creo q es una wena idea sobre todo para turistas,pero opino al igual que otras personas,deberían dejarlo tb por la noche, pas de tram, pas de bus...y hay trozos k volver a pie no son especialmnt gratificantes...a mí personalmnt aunk el tram me deje cerca de casa subir el puente y ese trocito de calle se m hace complicado a altas horas de la madrugada k no hay ni dios por la calle,y si vengo por el camino de atrás desde la fac, eso es mejor ni pensarlo pq ni idea de quién te puede salir...por eso, aunk no vivo allí, yo tb votaría por mantenerlo de noche el servicio; en fín , la noticia como tal:

alquiler de bicis en Nantes

martes, 8 de abril de 2008

La Flamme Olympique

"Malgré un important dispositif de sécurité, le parcours de la flamme olympique à Paris a été interrompu à plusieurs reprises, lundi 7 avril, par des incidents opposant des militants pro-tibétains et des membres de Reporters sans frontières (RSF) aux forces de l'ordre. La torche a été par quatre fois mise à l'abri dans un bus de la sécurité, et un temps éteinte, avant d'être rallumée peu après 13 h 30 et de nouveau confiée à un relayeur, selon la préfecture. Vingt personnes ont été interpellées et relâchées, sauf une qui a été placée en garde à vue pour "violence à l'encontre d'agent de la force publique" et "port d'arme prohibé", selon le parquet.

Au départ de la flamme du premier étage de la tour Eiffel, l'athlète Stéphane Diagana, premier des quatre-vingts relayeurs à transporter le symbole olympique, n'a pu courir que quinze mètres avant d'être confronté à un premier incident. Le président des élus Verts au conseil de Paris, Sylvain Garel, a essayé de lui arracher la flamme. M. Garel a été interpellé par "des policiers français et chinois" avant d'être relâché. La vice-présidente du conseil régional d'Ile-de-France, Mireille Ferri (Verts), a été arrêtée alors qu'elle se dirigeait vers la tour Eiffel avec un extincteur, avant d'être relâchée elle aussi.


ITINÉRAIRE MODIFIÉ

...A l'approche du jardin des Tuileries, la flamme, qui devait rejoindre l'Hôtel de Ville, a de nouveau été mise à l'abri dans un bus. La façade de la mairie a été parée d'un drapeau de RSF et de celui du Tibet, déployés par des élus écologistes. Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a décidé d'annuler la cérémonie qui devait se tenir à l'Hôtel de Ville. La préfecture de police a indiqué que l'itinéraire du cortège avait été modifié sur décision des organisateurs. ..."

Fuente: Le monde

domingo, 6 de abril de 2008

Manif des militants bretons au conseil régional

" En fin de matinée, une vingtaine de militants bretons ont perturbé la cérémonie d'installation du conseil régional des jeunes. A l'extérieur de l'hôtel de Région, ils ont tapissé les murs et des poteaux de nombreux autocollants "BZH" et autres slogans revendicant le rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne. Ils ont également déposé le drapeau français et le drapeau des Pays-de-Loire pour faire pavoiser un drapeau breton. Jacques Auxiette, président du conseil régional, s'élève contre ces "méthodes de gens qui, des armes blanches à la main, prétendent donner des leçons de démocratie et s'en prennent aux bâtiments publics et aux symboles de notre République". Le président du conseil régional a indiqué que la Région allait porter plainte."


Fuente: Presse Ocean


Aeropuerto de Nantes

"...La CCI qui espère bien être acteur de la future concession estime que cet élément n'est pas anodin. « Le nom porté par un aéroport est une pièce importante pour sa notoriété, note Jean-François Gendron. Il faut donner à l'équipement un intitulé qui le symbolise bien, un mot facile à prononcer, représentatif du grand ouest et marquant son ambition internationale ».

Le cadre est mis. Même si la décision finale ne sera pas prise sans l'accord des collectivités concernées, les Nantais peuvent donc commencer à chercher un successeur à Château-Bougon, Airport Atlantic International et Nantes-Atlantique, les trois appellations successives portées par l'aéroport de Nantes.

De Château-Bougon à Nantes Atlantique

Jusqu'au début des années trente, Nantes ne dispose pas de véritable terrain d'aviation. La chambre de commerce et le ministère de la défense s'accordent pour mettre un terme à cette situation. Et en 1932, une première piste est construite au sud de Nantes, à Bouguenais, près d'une propriété du nom de Château-Bougon.

Le terrain sert à l'aéro-club puis à partir de 1938 à des fins militaires.

Au lendemain de la déclaration de guerre, en septembre 1939, l'armée de l'air britannique installe une base et construit la première piste en dur et une tour de contrôle. Puis en juin 1940, les Allemands succèdent aux Anglais. À la Libération, l'Armée de l'air reprend ses droits jusqu'en 1949 où l'aérodrome retrouve sa vocation civile.

En 1958, la CCI se lance dans des travaux d'envergure pour faire face au développement du trafic aérien vers l'Afrique du Nord.

En 1963 s'ouvre la première ligne aérienne entre Nantes et Paris. L'aéroport ne cessera de se développer.

Nantes Atlantique depuis 1988

Les années 70 sont marquées par la construction d'une salle d'embarquement, la première tranche de l'aérogare de fret. La plateforme aéroportuaire nantaise s'ouvre à l'international.

En 1988, exit Château-Bougon !

L'aéroport est provisoirement rebaptisé Airport Atlantic International. Puis pour plus de simplicité, il prend le nom d'aéroport Nantes Atlantique International.

Et le mot international disparaît lorsque l'équipement acquiert une reconnaissance... internationale !..."


Fuente: Presse Ocean

viernes, 28 de marzo de 2008

Collecte de souvenirs sur les événements de mai 68 à Nantes

Ils dorment dans les greniers, les tiroirs ou les fonds d'armoires. Tracts, affiches, coupures de journaux, casques de chantiers, pavés, photos, bleus de travail, tickets d'essence... ou simplement souvenirs de manifestations, de meetings ou de piquets de grève. Ce sont les souvenirs de mai 68, ces fameux « événements » comme on les qualifie encore pudiquement aujourd'hui qui marquèrent durablement les esprits dans les décennies suivantes et nourrissent toujours l'espoir de lendemains qui chantent.

« Peut-on liquider Mai 68 ? »

Nantes et les Nantais y jouèrent une partition particulière, notamment en cette folle journée du 14 mai où les salariés de Sud-Aviation occupèrent leur usine, donnant aussitôt l'exemple à la France entière.

En cette année du quarantième anniversaire, le château des ducs de Bretagne-Musée d'histoire de Nantes a décidé de se pencher sur cette période. Dans le cadre d'un nouveau type de manifestation intitulée Rencontres, il tentera de répondre, du 3 mai au 1er juin prochain, à une question cruciale : « Peut-on liquider Mai 68 ? ».

Cette rencontre prendra plusieurs formes. Outre des débats et une exposition, le château lance une grande collecte d'objets, documents, affiches, tracts, photographies, films... montrant le quotidien des Nantais et des habitants de l'agglomération pendant les événements de mai 68. Collecte à laquelle s'associent Presse Océan et Télénantes. « Ces objets seront susceptibles à terme de documenter les salles contemporaines du musée d'histoire de Nantes », précise Pierre Chotard, en charge de cette exposition.

« Tous les objets peuvent être intéressants »

« C'est un moyen d'expliquer au public comment on peut enrichir les collections du musée d'histoire de Nantes. Nous sommes très pauvres sur la période contemporaine et tous les objets peuvent être intéressants ».

Les objets seront étudiés, photographiés, et restitués à leurs propriétaires suivant leur volonté. Certains pourront être présentés lors de l'exposition, mais tous seront visibles sur internet.

Fuente:Presse Ocean

Desde aquí se pueden ver algunas fotos de la época:
http://www.presseocean.fr/actu/mai_68_nantes.php

Grosse frayeur à l'aéroport Nantes Atlantique

Hier matin, 6 h, dans le ciel de Nantes. Comme tous les jours, le Boeing 757 de la société de transport DHL est en approche de l'aéroport de Nantes-Atlantique. Le train d'atterrissage est sorti et l'appareil descend vers le tarmac. Soudain, le pilote détecte une anomalie au niveau du verrouillage du train avant. L'atterrissage en toute sécurité n'est pas assuré. Le pilote remet les gaz. L'avion reprend de l'altitude.

Quinze centres de secours mobilisés

Les deux occupants de l'avion-cargo sont en liaison constante avec la tour de contrôle. Au sol, l'alerte est donnée. Une procédure d'urgence est mise en place. Pas moins de soixante sapeurs-pompiers venus d'une quinzaine de centres de secours des environs viennent prêter main-forte aux services de secours de l'aéroport.

Pendant ce temps, le Boeing de DHL tourne au-dessus de l'aéroport pour brûler son kérosène et alléger ainsi le poids de l'avion. Une mesure de sécurité obligatoire.

Au sol, l'aéroport est fermé. Les passagers à destination de Nice et Madrid, tout juste embarqués dans leurs avions, sont priés de descendre et de regagner l'aérogare.

Immobilisé sur la piste

Une heure et demi plus tard, le pilote de l'avion se pose. Le pilote réalise un atterrissage parfait. Mais le train avant pose toujours problème : l'appareil est immobilisé au milieu de la piste, interdisant tout trafic. En cas de mouvement, le nez de l'avion pourrait se planter dans la piste !

Pendant ce temps-là, dans l'aérogare, les passagers s'impatientent. Certains craignent de manquer leur correspondance... Il leur faudra toutefois faire preuve d'encore un peu de patience, le temps que les services techniques de l'aéroport prennent les dispositions pour tracter l'avion.

À 10 h, finalement, le Boeing 757 est amené à son point de stationnement habituel. Le trafic peut reprendre à l'aéroport de Nantes-Atlantique.

Le trafic perturbé

Conséquence de cette grosse frayeur : onze vols, sept au départ et quatre à l'arrivée, ont toutefois dû être annulés. Les compagnies aériennes concernées se sont arrangées entre elles pour répartir les 566 passagers dont le vol a été annulé.

Sept vols ont également été déroutés sur l'aéroport de Rennes. Les passagers ont ensuite été acheminés à Nantes en car. Enfin, un vol en provenance de Nottingham a été dérouté sur La Rochelle et les passagers au départ de Nantes vers l'Angleterre ont été acheminés à La Rochelle en car.

Au total, ils sont un millier à avoir vu leur voyage perturbé par le blocage.


Fuente: Presse ocean

C'est la rentrée!

Me da pena que el blog se queda con los cuatro post mal puestos que tiene, pero más aún cargármelo, así que, como hay cosas que me gustaría guardar referentes al Loira y todo lo q allí acontece, aunque yo no esté, pegaré la info de los periódicos a modo de diario; algo raro, q podría dejar directmnt en mi ordenador, pero no es lo mismo, en cierto modo Nantes ya forma parte de mi vida, k le voy a hacer...

Info del Loira, tiras cómicas, sucesos del país como tal (vease la intención de boicotear los JJOO) u otras ideas de M. Sarkozy...sigue haciéndome gracia q se dedique tantísimo a la política internacional (vease tb la visita a Londres donde es más "importante" su mujer que él xD), cuando allí en octubre tenía huelgas montadas por todos sitios y él se dedicaba a hacer visitas de Estado...

Pues eso, q volvemos...