martes, 8 de abril de 2008

La Flamme Olympique

"Malgré un important dispositif de sécurité, le parcours de la flamme olympique à Paris a été interrompu à plusieurs reprises, lundi 7 avril, par des incidents opposant des militants pro-tibétains et des membres de Reporters sans frontières (RSF) aux forces de l'ordre. La torche a été par quatre fois mise à l'abri dans un bus de la sécurité, et un temps éteinte, avant d'être rallumée peu après 13 h 30 et de nouveau confiée à un relayeur, selon la préfecture. Vingt personnes ont été interpellées et relâchées, sauf une qui a été placée en garde à vue pour "violence à l'encontre d'agent de la force publique" et "port d'arme prohibé", selon le parquet.

Au départ de la flamme du premier étage de la tour Eiffel, l'athlète Stéphane Diagana, premier des quatre-vingts relayeurs à transporter le symbole olympique, n'a pu courir que quinze mètres avant d'être confronté à un premier incident. Le président des élus Verts au conseil de Paris, Sylvain Garel, a essayé de lui arracher la flamme. M. Garel a été interpellé par "des policiers français et chinois" avant d'être relâché. La vice-présidente du conseil régional d'Ile-de-France, Mireille Ferri (Verts), a été arrêtée alors qu'elle se dirigeait vers la tour Eiffel avec un extincteur, avant d'être relâchée elle aussi.


ITINÉRAIRE MODIFIÉ

...A l'approche du jardin des Tuileries, la flamme, qui devait rejoindre l'Hôtel de Ville, a de nouveau été mise à l'abri dans un bus. La façade de la mairie a été parée d'un drapeau de RSF et de celui du Tibet, déployés par des élus écologistes. Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a décidé d'annuler la cérémonie qui devait se tenir à l'Hôtel de Ville. La préfecture de police a indiqué que l'itinéraire du cortège avait été modifié sur décision des organisateurs. ..."

Fuente: Le monde

domingo, 6 de abril de 2008

Manif des militants bretons au conseil régional

" En fin de matinée, une vingtaine de militants bretons ont perturbé la cérémonie d'installation du conseil régional des jeunes. A l'extérieur de l'hôtel de Région, ils ont tapissé les murs et des poteaux de nombreux autocollants "BZH" et autres slogans revendicant le rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne. Ils ont également déposé le drapeau français et le drapeau des Pays-de-Loire pour faire pavoiser un drapeau breton. Jacques Auxiette, président du conseil régional, s'élève contre ces "méthodes de gens qui, des armes blanches à la main, prétendent donner des leçons de démocratie et s'en prennent aux bâtiments publics et aux symboles de notre République". Le président du conseil régional a indiqué que la Région allait porter plainte."


Fuente: Presse Ocean


Aeropuerto de Nantes

"...La CCI qui espère bien être acteur de la future concession estime que cet élément n'est pas anodin. « Le nom porté par un aéroport est une pièce importante pour sa notoriété, note Jean-François Gendron. Il faut donner à l'équipement un intitulé qui le symbolise bien, un mot facile à prononcer, représentatif du grand ouest et marquant son ambition internationale ».

Le cadre est mis. Même si la décision finale ne sera pas prise sans l'accord des collectivités concernées, les Nantais peuvent donc commencer à chercher un successeur à Château-Bougon, Airport Atlantic International et Nantes-Atlantique, les trois appellations successives portées par l'aéroport de Nantes.

De Château-Bougon à Nantes Atlantique

Jusqu'au début des années trente, Nantes ne dispose pas de véritable terrain d'aviation. La chambre de commerce et le ministère de la défense s'accordent pour mettre un terme à cette situation. Et en 1932, une première piste est construite au sud de Nantes, à Bouguenais, près d'une propriété du nom de Château-Bougon.

Le terrain sert à l'aéro-club puis à partir de 1938 à des fins militaires.

Au lendemain de la déclaration de guerre, en septembre 1939, l'armée de l'air britannique installe une base et construit la première piste en dur et une tour de contrôle. Puis en juin 1940, les Allemands succèdent aux Anglais. À la Libération, l'Armée de l'air reprend ses droits jusqu'en 1949 où l'aérodrome retrouve sa vocation civile.

En 1958, la CCI se lance dans des travaux d'envergure pour faire face au développement du trafic aérien vers l'Afrique du Nord.

En 1963 s'ouvre la première ligne aérienne entre Nantes et Paris. L'aéroport ne cessera de se développer.

Nantes Atlantique depuis 1988

Les années 70 sont marquées par la construction d'une salle d'embarquement, la première tranche de l'aérogare de fret. La plateforme aéroportuaire nantaise s'ouvre à l'international.

En 1988, exit Château-Bougon !

L'aéroport est provisoirement rebaptisé Airport Atlantic International. Puis pour plus de simplicité, il prend le nom d'aéroport Nantes Atlantique International.

Et le mot international disparaît lorsque l'équipement acquiert une reconnaissance... internationale !..."


Fuente: Presse Ocean